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lundi 28 février 2022

Successeur de Vladimir Poutine?

 Des rumeurs « de bonne source » font état de l’évolution de Sergey Evgenevitch Narishkin, de son poste actuel de chef du SVR (Service de renseignement extérieur, équivalent de la CIA), au poste de successeur de Vladimir Poutine.


Ukraine: Fakes news, sanctions et contre-sanctions: Le point

 En préambule une vidéo tournée hier soir dans les environs de Mariupol: Une unité de l’armée ukrainienne (plus probablement des paramilitaires, ceux que justement nous allons liquider) arrête un véhicule de civils fuyant la ville. Exécutions sommaires. Voyant ceci, le véhicule derrière (qui filme) force le passage sous les tirs.

La situation:




1- Hier Vladimir Poutine a ordonné la « mise au ralenti » de l’avancée russe en Ukraine car Zelenski avait annoncé vouloir négocier. Après discussions, Zelenski a déclaré aujourd’hui vouloir continuer le combat. La « mise au ralenti » a donc été annulée.

2- Certains s’étonnent de la « lenteur » de l’avancée russe. Elle s’explique par le fait que notre armée tente d’éviter au maximum les dommages aux civils. Ceci alors que les unités extrémistes (Azov par exemple) installent leurs armes lourdes dans les quartiers densément peuplé des villes. Aujourd’hui même dans une école maternelle à Lvov! Nous n’attaquons pas les civils, donc ne frappons pas ces objectifs, et donc les opérations sont plus longues.

Un déluge de « fausses nouvelles » sest abattu sur internet. La plus importante est celle qui concerne les défenseurs ukrainiens de l’Ile Aux Serpents en Mer Noire qui, selon la propagande ukrainienne, ont préféré mourir plutôt que de se rendre. La vérite est autre, les militaires se sont rendus, et ont été transférés en Crimée où ils ont signé un engagement de ne plus combattre. Ils retrouveront leurs Familles dans quelques jours.

Voici les militaires en question, ils n’étaient d’ailleurs pas 13 comme le dit la propagande ukrainienne, mais 82…

Il a été dit qu’une colonne entière russe a été anéantie par les ukrainiens. Il s’agit en fait d’une colonne ukrainienne, on retrouve des fragments de plaque d’immatriculation ukrainienne.

Etc etc

On a appris hier que Boris Johnson a ordonné le blocage total des biens de Poutine et Lavrov en Anglettere. Excellente plaisanterie puisque bien sûr ils n’ont aucun bien à l’étranger!

Les banques anglaises (encore!) ont annoncé bloquer les avoirs de tous les citoyens et sociétés russes en Angleterre. Quand on sait que l’Angleterre s’est fait un plaisir d’accueillir les pires crapules de Russie, on ne peut que se réjouir que celles-ci aient leurs comptes bloqués! Concernant les sociétés russes, c’est plus sérieux et en riposte à l’instant même la Russie a annoncé qu’elle allait saisir les avoir des sociétés américaines et européennes en Russie.

Certaines banques russes ont été « sanctionnées », mesures leur interdisant l’accès aux marchés extérieurs financiers. Suite à ceci, on a pu lire que « dans la panique, les russes font la queue aux distributeurs pour retirer leur argent et ont retiré 11 milliards de roubles à Moscou en quelques heures ». Entièrement faux bien sûr et j’ai vérifié moi-même qu’aucune file d’attente n’était présente aux guichets de Sberbank et VTB par exemple.

Il est probable ce soir que les banques russes (ou peut-être CERTAINES d’entre elles) seront déconnectées du système « SWIFT », système utilisé dans le monde entier pour le contrôle des virements internationaux. Mais depuis des années les pays occidentaux nous en menacent et nous avons donc pris en avance les mesures nécessaires en créant un système similaire. La portée de cette « sanction » sera donc très limitée, malgré les déclarations triomphales que ne manqueront pas de faire nos ennemis.

Plusieurs pays européens ont interdit leur survol par les compagnies aériennes russes. En riposte ces compagnies russes ont annulé tous les vols à destination de l’Europe, et va se poser rapidement la question des européens « bloqués » en Russie.

Pour la petite histoire, les services spéciaux américains ont tenté avant-hier de convaincre Biden d’ordonner des cyber attaques massives contre la Russie pour bloquer nos chemins de fer, entre autres. Nos services cyber ont été informés … en piratant les américains, et ont riposté en pillant quelques bases de données américaines très « spéciales » (Services de police, etc) et en montrant, concrètement, qu’ils sont capables de couper l’électricité à, par exemple, New York. Résultat: Biden n’a pas donné suite aux conseils de ses services spéciaux… Et les bases pillées sont tout de même disponibles sur certains groupes télégram en accès libre!

Dans le monde virtuel, facebook a interdit la publicité des media russes et bloqué plusieurs compte russes. En riposte, depuis hier soir Facebook et Instagram sont partiellement bloqués en Russie et ce qui n’est pas bloqué est fortement ralenti.

Ceci n’est que quelques exemples qui ne doivent pas faire oublier le drame qui se joue actuellement. Il ne dépend que de Zelenski de l’arrêter, mais les Etats-Unis poussent pour la poursuite de l’opération. Les européens en caniches soumis suivent le mouvement, mais que peut-on attendre d’autre de leur part? Qu’ils sachent toutefois que leur attitude ne changera rien, et que leurs « sanctions » et notre riposte leur couteront plus cher qu’à nous. Une fois encore, il ne s’agit pas de guerre ni d’invasion mais, comme dirait votre président Sarkozy, d’un « coup de karcher ». Lui n’a pas osé allé liquider les voyous des cités, nous osons aller liquider les néonazis ukrainiens.

Et pour terminer, au sujet du terme « nazi » ou « néonazi ». Il est courant en France de traiter de nazi, j’en suis certain, quasiment tous les lecteurs de ce site (mis à part quelques bobos qui se reconnaitront..). Il faut bien savoir qu’en Ukraine de véritables « nazis » sont à l’oeuvre dans l’armée, dans les services spéciaux et jusqu’au gouvernement. Les manifestations avec drapeaux nazis y sont monnaie courante. Nous ne les « accusons » pas de « nazis », ce sont eux-mêmes qui se disent fiers de l’être.

Espérons que Zelenski fera passer son peuple avant Biden et ordonnera au plus vite la reddition de ses troupes. Chaque heure qui passe multiplie le nombre de victimes… et donne l’occasion aux politiciens européens de se poser en donneurs de leçons! A se demander si finalement notre opération ne les arrange pas…

Boris Guennadevitch Karpov

Le moral militaire russe et le sentiment anti-guerre à la maison ne sont pas ce que les médias prétendent


 La tendance générale est qu'une guerre de l'information très intense est menée contre la Russie en ce moment, en particulier en ce qui concerne les deux récits trompeurs qui ont été clarifiés dans cette analyse. Le but n'est pas seulement de discréditer l'opération spéciale aux yeux du monde en donnant l'impression que la plupart des Russes sont contre, mais aussi d'influencer ces mêmes Russes pour qu'ils expriment plus activement leur désaccord public avec la campagne, notamment en participant à rassemblements non autorisés.

Les médias occidentaux dirigés par les États-Unis ont poussé les récits de la double guerre de l'information alléguant que l'armée russe n'a pas le moral pour participer à son opération spéciale en cours en Ukraine et que le peuple russe «se soulève» en réponse à l'Ukraine . appel du chefLe premier prétend à tort que « les Russes ne veulent pas combattre les Ukrainiens » tandis que le second fait état de rassemblements non autorisés et de pétitions anti-guerre hors de leur contexte en omettant que la plupart de ceux qui y participent sont des membres pro-occidentaux de l'élite libérale ou ceux qui y aspirent. le devenir à l'avenir. Ce que cet article vise à clarifier une partie de la confusion parmi ceux qui ne savent pas quoi penser après avoir été sans cesse bombardés de ces faux récits depuis le début de la campagne jeudi dernier.

En ce qui concerne le moral de l'armée russe, il est vrai que les militaires ne voient pas les Ukrainiens comme un ennemi en soi en raison de liens historiques et familiaux étroits, mais ils sont également conscients que le régime fantoche fasciste soutenu par les États-Unis à Kiev déteste vicieusement les Russes pour leur ethno- raisons religieuses. Non seulement cela, mais tout le monde en Russie est bien conscient que Kiev mène des attaques non provoquées contre le peuple russe indigène du Donbass depuis déjà huit ans dans ce que le président Poutine a qualifié fin février de génocide. De plus, le dirigeant russe a révélé publiquement jeudi dernier, lors de l'annonce de l'opération spéciale de son pays en Ukraine, à quel point la menace de l'infrastructure militaire de l'OTAN est existentielle et imminente. Tout cela a galvanisé l'armée russe contre les fascistes de Kiev soutenus par les États-Unis.

En ce qui concerne les reportages des médias grand public sur le sentiment anti-guerre au sein de la société russe, il est également indéniable que plusieurs milliers de personnes ont participé à des rassemblements non autorisés au cours des derniers jours et que de nombreux autres ordres de grandeur ont signé une pétition condamnant l'opération spéciale de leur pays en Ukraine, y compris grande partie de l'élite sociale et universitaire. Ce qui reste de leurs rapports, cependant, c'est qu'il existe véritablement un mouvement anti-gouvernemental très actif ici, malgré les fausses affirmations des médias grand public selon lesquelles la Russie est une soi-disant « dictature », qui s'oppose toujours à l'État quoi qu'il arrive. le problème est. Ils ont récemment commencé à manipuler les jeunes, y compris les mineurs, pour qu'ils participent également à leurs rassemblements non autorisés (illégaux) afin d'augmenter le nombre de personnes.

Il est important de garder tout cela à l'esprit, de peur d'être induit en erreur par les médias grand public en pensant que l'opération spéciale de la Russie en Ukraine est véritablement impopulaire parmi les Forces armées russes (RAF) et la société qu'elles représentent. Ce n'est pas une perception exacte, car elle s'appuie fortement sur des spéculations non fondées sur le premier mentionné qui laisse hypocritement de côté l' élément fasciste largement documenté. de leurs opposants, ce qui a galvanisé leurs rangs contre les radicaux soutenus par les États-Unis qui ont pris le contrôle de cet État frère après le coup d'État de début 2014 après des semaines de terrorisme urbain décrit en Occident comme « EuroMaidan ». Cela et les préoccupations de sécurité stratégique de la Russie découlant de l'infrastructure militaire secrète de l'OTAN en Ukraine ont remonté le moral de la RAF.

Les inexactitudes de la deuxième mention sont plus faciles à repérer en raison de leur visibilité. Les personnalités sociales et universitaires de haut niveau qui participent aux activités contre l'opération spéciale, qu'il s'agisse de rassemblements non autorisés et/ou de pétitions, sont bien connues pour leurs opinions libérales pro-occidentales passionnées pour la plupart. Des exceptions existent bien sûr mais ces chiffres ne sont en général pas du tout représentatifs de la société. Ceux qui enfreignent la loi en participant à des rassemblements non autorisés ont également probablement été induits en erreur sur le conflit, car sinon, il est difficile d'imaginer qu'une personne sincèrement patriote soit contre les mesures décisives employées pour garantir l'intégrité des lignes rouges de sécurité nationale de leur pays. Les éléments de trahison existent bel et bien , mais ils ne sont vraisemblablement pas représentatifsde la majorité de ces militants.

La tendance générale est qu'une guerre de l'information très intense est menée contre la Russie en ce moment, en particulier en ce qui concerne les deux récits trompeurs qui ont été clarifiés dans cette analyse. Le but n'est pas seulement de discréditer l'opération spéciale aux yeux du monde en donnant l'impression que la plupart des Russes sont contre, mais aussi d'influencer ces mêmes Russes pour qu'ils expriment plus activement leur désaccord public avec la campagne, notamment en participant à rassemblements non autorisés. Cela pourrait alors inciter les autorités à les détenir, ce qui permet aux médias grand public de tout déformer de manière à affirmer que « le dictateur Poutine a peur de son propre peuple ! Cela sert également à tenter d'inciter davantage de Russes à se répandre dans les rues et ainsi de suite.

Alors que l'objectif de discréditer l'opération spéciale de la Russie auprès des Occidentaux avait déjà réussi avant même qu'elle ne soit officiellement lancée, il n'est pas vrai que les non-Occidentaux s'y opposent également, ou du moins pas autant que leurs pairs de la société russe qui ont été sans cesse endoctrinés avec des récits anti-russes depuis des années déjà. De plus, il n'y a absolument aucun scénario crédible d'ingérence étrangère via la combinaison de sanctions et de guerre de l'information de la guerre hybride catalysant une révolution de couleur significative.mouvement en Russie. Tout au plus pourrait-il arriver que le faux récit des médias grand public sur l'impopularité supposée de cette opération spéciale parmi la RAF et la société de leur pays persistera probablement en Occident mais finira par être ignoré dans le non-Occident.

Par Andrew Korybko
Analyste politique américain
source: https://oneworld.press/?module=articles&action=view&id=2533



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