Membres

jeudi 10 mars 2022

Qui dans le monde a refusé de faire pression sur la Russie ?

Les participants d'un rassemblement populaire en faveur de la Russie à Belgrade. Aleksandar

EN EUROPE

Presque tous les pays européens se sont prononcés en faveur des sanctions. Cependant, il y a aussi des exceptions ici. La Serbie a déclaré son non-alignement sur les mesures anti-russes. Le président du pays, Aleksandar Vučić , a reconnu que l'UE et les États-Unis exerçaient une forte pression sur Belgrade dans cette affaire. Le pays a longtemps voulu rejoindre l'UE, et maintenant Bruxelles exige qu'il soutienne le parcours paneuropéen. Cependant, pour l'instant, les sympathies de la population serbe vont clairement du côté de la Russie. Le 4 mars, un rassemblement bondé de soutien à Moscou a eu lieu dans le pays. La Bosnie-Herzégovine n'a pas non plus soutenu les sanctions en raison de la position des Serbes de Bosnie.

La Hongrie, qui a imposé des restrictions à la Russie dans le cadre d'une décision commune de l'UE, fait également preuve d'une certaine indépendance vis-à-vis de Bruxelles. Le Premier ministre hongrois Viktor Orban a déclaré que "contrairement à l'Allemagne et à l'Italie", son pays n'enverrait pas d'armes à l'Ukraine. A travers le territoire hongrois, le transit d'armes pour Kiev est également fermé.

DANS LA CEI

Pas un seul pays de l'espace post-soviétique n'a imposé de sanctions contre la Russie. Le président kirghize Sadyr Zhaparov a  qualifié la reconnaissance de la DNR et de la LNR de droit souverain de la Russie et a soutenu l'opération spéciale en Ukraine. D'autres pays, comme le Kazakhstan, ont déclaré leur neutralité et ont poursuivi leurs échanges avec la Fédération de Russie.

Même la Moldavie et la Géorgie ont renoncé aux sanctions anti-russes, bien que leurs dirigeants ne puissent être qualifiés d'amis de Moscou. La Russie n'a toujours pas de relations diplomatiques avec la Géorgie après la guerre en Ossétie du Sud en 2008. Néanmoins, ni Tbilissi ni Chisinau n'ont encore l'intention d'imposer des sanctions contre Moscou, expliquant cela par leurs propres intérêts.

EN ASIE

Parmi les pays asiatiques, les sanctions contre la Russie n'ont en fait été soutenues que par le Japon et Singapour. Ils ont, ainsi que Taïwan, coupé les banques russes de SWIFT et imposé une interdiction des exportations de technologie.

D'autres pays asiatiques ne sont pas pressés de se joindre aux sanctions. Il s'agit de l'Inde, de la Chine et des États de l'ANASE et du Moyen-Orient. La Turquie n'envisage pas d'imposer des sanctions contre la Russie afin de maintenir un canal de dialogue, a déclaré le porte-parole de Recep Erdogan . Et l'Arabie saoudite, l'allié le plus proche des États-Unis au Moyen-Orient, a même annoncé qu'elle pourrait réduire les investissements dans l'économie américaine. "Je me fiche de ce que Biden en pense", a déclaré le prince héritier saoudien et dirigeant de facto Mohammed bin Salman . "Nous n'avons pas le droit de vous faire la leçon en Amérique", a-t-il ajouté. "Cependant, vous n'avez pas non plus le droit de nous faire la leçon."

"La crise ukrainienne est enracinée dans les provocations de l'OTAN",  a écrit le ministre iranien des Affaires étrangères Hossein Amir Abdollahian sur son compte Twitter le jour du début de l'opération spéciale russe en Ukraine. Téhéran a souligné à plusieurs reprises qu'il "ne considère pas la guerre comme une solution". "L'Ukraine est devenue victime d'une crise créée par les États-Unis", a déclaré le chef spirituel iranien Ali Khamenei . « Si les États-Unis ne peuvent pas créer une crise, alors les entreprises d'armement ne peuvent pas fonctionner de leur mieux. Ils doivent créer des crises pour garantir les intérêts de cette mafia.La Chine ne prévoit pas non plus d'imposer de sanctions contre la Russie. Pékin pense également que Washington est responsable de la crise. "Les États-Unis utilisent la crise ukrainienne pour discréditer et calomnier la Chine, essayant ainsi de se dégager de toute responsabilité dans la situation", a déclaré le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Wang Wenbin .

La position la plus remarquable appartient à la Corée du Sud. Il a également interdit l'exportation de matériel stratégique vers la Fédération de Russie et déconnectera un certain nombre de banques russes de SWIFT. Cependant, l'agence de presse coréenne Yonhap a rapporté que le pays avait retiré presque toutes les industries de haute technologie des sanctions américaines contre la Russie. Cela s'appliquera également aux appareils électroniques coréens LG et Samsung, et même aux puces coréennes "à double usage". Cela signifie que l'accès aux appareils électroménagers coréens en Russie sera ouvert.

Pendant ce temps, la société coréenne Samsung a suspendu les livraisons vers la Russie. Là, cependant, ils ont déclaré à l'agence RIA Novosti qu'il ne s'agissait pas de sanctions. Tous les centres de service en Russie fonctionnent et l'entreprise promet de reprendre ses activités normales prochainement : "Nous travaillons maintenant à trouver des solutions pour rétablir nos approvisionnements en Russie."

EN AMERIQUE LATINE

Les pays latino-américains déjà dans les premiers jours de l'opération militaire ont tenté de se retourner contre la Russie. Les États-Unis et le Canada ont entamé une discussion sur une résolution anti-russe au sein de l'Organisation des États américains. Cependant, Washington et Ottawa n'ont pas réussi à obtenir le soutien du texte de la résolution par tous les pays. Maintenant, les Latino-Américains refusent de se joindre aux sanctions.

"Pas de sanctions ni de condamnation du président Poutine", a annoncé le président brésilien Jair Bolsonaro . Il a souligné que son pays ne voterait pas pour des résolutions anti-russes à l'ONU. La même décision a été prise par l'Argentine, où ils ont ignoré l'indignation de l'ambassadeur d'Ukraine à ce sujet.

La Bolivie, le Salvador et l'Uruguay ont adopté une position bienveillante envers Moscou. Cuba, le Nicaragua et le Venezuela sont traditionnellement pour Moscou. Les pays occidentaux alimentent la xénophobie contre les Russes, a déclaré le président vénézuélien Nicolas Maduro . «Ils persécutent les Russes partout dans le monde. Un merveilleux chef d'orchestre a été retiré de la direction d'un orchestre philharmonique dans l'un des pays européens simplement parce qu'il est russe. C'est ce qu'on appelle la xénophobie, le racisme, la persécution, la violation des droits de l'homme », a souligné le dirigeant vénézuélien.

Chili, Colombie, Equateur, Pérou, s'ils ont voté la résolution de l'ONU condamnant la Russie, ils ne sont pas non plus pressés d'imposer des sanctions.


source:05.03.2022 15:33

dimanche 6 mars 2022

Comment l'armée éminemment régulière de la Russie a brisé le carcan aérien pour devenir missilophile et drone pratiquant !


La Résistance a-t-elle une quelconque représentation au sein du QG russe suivant un modus operandi érigé en principe depuis que la Russie s’est engagée en Syrie à la demande de l’Iran car dès 2011 il était clair que l’axe US-Israël-OTAN cherchait par guerre anti Syrie interposée, non pas à couper l’autoroute stratégique Iran-Irak-Syrie-Liban- Méditerranée mais aussi ligoter ad vitam eternum les Russes au domicile, quitte à les encercler sans aucun débouchée extra est-Européen que ce soit sur le Moyen-Orient, jusqu’à ce que la fédération, dixit Poutine, « trop grande à leur goût » n’éclate, comme la Syrie aurait dû imploser? La réponse on l’ignore, n’empêche que ce vendredi 4 mars, les analystes militaires se trouvaient toujours en état d’anxiété et de perplexité de voir la Russie ne refuser obstinément de tomber dans le piège « frappes aériennes de masse » et d’éviter, fût-ce au prix de quelques difficultés pour ses unités d’éclaireurs, terrestres ou logistiques bloqués dans les banlieues ukrainiennes, de lancer ses MiG ou ses Tupolev ou encore ses Sukhoï à l’assaut de Kharkov ou de Kiev, à l’image de ce que qu’a perpétré en mai 2021 l’entité en mai à Gaza ou ce que les Yankee et leurs acolytes golfiens font quotidiennement au Yémen. 

Certes les Russes ont perdu entre autres équipements, quelques 28 batteries de DCA type Buk M2 Tor M2 ou Pantsir, ils ont vu quatre des radars d’interception, six de leurs chasseurs et deux de leurs hélico, périr en 10 jours de combats par les Javelot et NRAW US/Otan mais cela ne les a pas empêché de s’obstiner à faire œuvre nouvelle, en procédant pour la première fois depuis 1930, à de pures frappes balistiques « hybrides », à des cocktails triptyques de missiles balistiques de précision Iskander M-missiles de croisière Calibr-missile anti Radar KH-33, pour reprendre le modèle de combat post moderne que la Résistance a tracé sous leurs yeux en 10 ans de guerre au Moyen-Orient et ce, au détriment d’un camp atlantiste qui bien conscient de la fin de l’époque où les chasseurs et les bombardiers faisaient gagner des guerres, voient, ahuris, l’une des plus puissantes armées de l’air du monde, adversaire de surcroît, « se mettre à l’heure de la Résistance » et faire chez elle, au domicile, sa mue « asymétrique ».

Du coup cette opposition de l’OTAN largement médiatisée ce vendredi comme quoi elle refuserait d’établir une « zone d’exclusion aérienne » au-dessus de l’Ukraine, déclinant ainsi la proposition de Zelensky, paraît parfaitement « hypocrite », « déphasée » et « ridicule ». Car comme l’a reconnu le président Poutine les ingrédients de cette zone « no fly » sont depuis un bon bout de temps, plantés en Pologne et en Roumanie où des batteries Patriot et leurs radars à réseau phasé AN/MPQ 53 scannent 24 heures sur 24 le ciel de l’Ukraine voire de la Russie mais où ils restent sur leur faim car la Russie, et c’est cela la plus grande découverte de cette guerre Occident/Russie, s’est mise à l’heure de la Résistance, ayant compris qu’au 21e siècle il faudrait, pour gagner, primo se battre à moindre frais, secundo se battre avec une haute précision, ou comme le diraient les Yankee qui n’y sont d’ailleurs jamais parvenus, « de façon chirurgicale » !

Vidéo:Base détruite à Kharkov à coup de missiles tactiques.

Vidéo:Base détruite à Kharkov à coup de missiles tactiques.

Ainsi, ce vendredi 4 mars et pour la première fois depuis le début du conflit, l’armée de l’air russe a dévoilé ses drones de combat Kronshtadt Orion, en plein champ de bataille, drones que la Russie avait déjà utilisés à Idlib contre les terroristes pro Sultan Erdogan qui a l’heure qu’il est, partent en dizaine voire en centaine sur le front Ukrainien pour rejoindre les quelques 60 000 « daechistes » version européenne déjà sur place.

Or cette apparition dronesque a évidemment surpris d’autant plus « Bayraktar », le drone turc que le Sultan Erdogan a largement mis à la disposition de l’Ukraine pour qu’ils liquident des Russes à Donbass et ce, des mois avant le début de la guerre, brillent ces jours-ci par sa quasi-absence, ce qui commence à en affecter la réputation qu’il s’était fabriquée en Azerbaïdjan, quand en pleine guerre contre l’Arménie, ce même « Bayraktar » passait pour pouvoir « raser des unités entières de DCA « made in Russia ». Depuis on sait que cette vraie-fausse performance, le drone turco-canado-australo-britannique, la doit non pas à ses réelles capacités mais à vrai dire aux clichés satellites que les Otaniens lui avait fournis des semaines avant et qui lui permirent de trouver facilement l’emplacement des Pantsir-S.

Mais pourquoi la Russie a-t-elle décidé de jouer soudain sur ce terrain dronesque alors que le monde occidental attend impatiemment les frappes à Su-57 sur Kiev? Plus d’un observateur estime que l’armée russe est sur le point d’ inaugurer le second volet de sa « mue asymétrique » en mettant en scène via un UAV qui, au grand mépris des Patriot polonais et roumains, a réussi à pulvériser un centre de commandement et de contrôle du 24e bataillon d'assaut séparé ukrainien non loin de Kharkov. Effet de vase communicant ou pas, c’est de la Résistance que la Russie est en train de se reproduire. Non sans raison d’ailleurs car le camp d’en face particulièrement surpris de cette dimension balistique de la guerre russe laquelle vise à lui éviter un enlisement dans les rues de Kiev et Kharkov, semble vouloir ne pas en être au reste et ce à l’aide de sa filiale syrienne.


Toujours ce même vendredi 4 mars donc et dans une concomitance qui est loin d’être un effet de hasard, le renseignement russe peu habitué à des propagandes, et ce, au contraire de ses rivaux occidentaux, a fait état d’expéditions de masse de terroristes à partir des régions syriennes autres qu’Idlib, et plus particulièrement depuis les prisons-camp d’entraînement de Hassaké et du camp US à al-Tanf vers le front ukrainien, et ce, via la Pologne.

Or à al-Tanf où quelque 200 effectifs de force spéciales US continuent à entraîner les terroristes de Maghawir al-Thura, ces derniers connaissent comment se servir de Hirmas, ces lance-roquettes multiforme capables de tirer des raquettes tactiques. Pour les Russes, ceci veut dire que les Américains et leurs sous-fifres commencent eux aussi à singer les Russes et à vouloir donner un avant goût balistique à leurs attaques. Et C’est là sans doute la raison pour la quelle le QG des forces russes largement inspiré par la Résistance a fait le choix des drones. Et il l’a fait au bon moment. Pourquoi ? Car si ce pompage d’armes et de terroristes US-Israël-OTAN auquel les Russes assistent se poursuit, cela signifierait à terme la prolongation du conflit et dans la foulée, le retour de la tentation à des frappes de masses. C’est pour refuser cette tentation tout en se payant une force précise et furtive propre à éliminer les cellules terroristes à l’intérieur des grandes villes ukrainiennes et ce sans avoir besoin d’y envoyer chars et blindés que la Russie est passé à cette seconde phase et a sorti sa force de drone. Sauf que tout le monde sait que les Russes ont là de réelles failles à colmater et que cette métamorphose de l’armée régulière à non régulière, ne peut se passer facilement en si peu de temps.

Source: https://french.presstv.ir/Detail/2022/03/05/677997/Poutine-devoile-ses-nouvelles-tactiques-en-Ukraine-



Russie: La revanche de l’Allemagne nazie et des collabos français


 C’est donc clair et net, l’Allemagne a déclaré officiellement envoyer, directement, des « armes léthales » au gouvernement ukrainien et autoriser l’envoi d’armes allemandes à certains pays européens qui puiseront dans leurs stocks. Des armes allemandes seront donc utilisées contre des force russes, ça nous rappelle quelque chose. Le gouvernement français, tout comme celui de 1940, suit le mouvement puisque Macron a annoncé lui aussi envoyer « du matériel militaire » en Ukraine. Les vieilles habitudes de collabos ne changent décidement pas!

Que les choses soient claires: « les ukrainiens », « les allemands », « les français », ne sont pas les PEUPLES d’Ukraine d’Allemagne et de France! Ce ne sont que leurs gouvernements dont aucun n’a été élu avec un véritable soutien populaire majoritaire, ce ne sont que les franges les plus ignobles de ces peuples!

En Ukraine, les forces russes ont des pertes et l’avancée n’est pas aussi rapide qu’elle pourrait l’être simplement car elles tentent au maximum d’éviter les pertes civiles dans le peuple ukrainien qui, et quoique les media occidentaux prétendent, sont majoritairement du côté de la Russie! On n’efface pas plusieurs siècles de fraternité si facilement, chaque famille russe a de la famille en Ukraine et réciproquement! Car si nous voulions en terminer, il serait facile d’appliquer le même traitement à Kiev que celui appliqué à Grozny il y a quelques années! L’issue du combat ne fait *aucun* doute et de toute manière le but n’est pas tant de « prendre Kiev » que d’éliminer le gouvernement ukrainien.

Maintenant donc l’Allemagne semble vouloir entrainer l’Europe dans un nouveau conflit armé avec la Russie. Il ne s’agit plus de sanctions « financières » (celles-ci auront une réponse forte et très visible!) mais d’une véritable guerre. L’attitude revancharde d’un pays ayant déjà causé des millions de morts au cours de 2 guerres mondiales qui, pour se venger de sa dernière défaite, va soutenir un régime ouvertement néonazi.

(A ce sujet j’attendais cette nuit des photos montrant que le président ukrainien Zelenski est actuellement sous la protection – ou sous la garde?! – de combattants parfaitement identifiés se déclarant eux-mêmes comme « nazis ». Ces photos ont du retard, elles seront postées sur ce site dès réception)

Je ne suis pas certain que les peuples allemand et français approuvent majoritairement les décisions de leurs gouvernements dans ce conflit. En fait je suis même certain du contraire, mais malheureusement les conséquences des actes de leurs gouvernements retomberont sur tous! Ces ordures le savent d’ailleurs parfaitement mais sont, elles, bien a l’abri! Et vous, allez en payer les conséquences! Pour commencer, êtes-vous prêt à payer 3 ou 4 voire 5 euros pour UN litre d’essence? Etes-vous prêt à payer votre gaz 3 fois plus cher?

Mais les choses peuvent aller plus loin, beaucoup plus loin puisque ce sont en fait les pays de l’OTAN qui maintenant fournissent des armes à l’Ukraine, armes qui seront utilisées contre nous. En comprenez-vous bien toutes les conséquences possibles?

On se souvient comment les choses se sont terminées la dernière fois que les boches se sont frottés à l’armée soviétique. Il semble que la leçon n’ait pas été comprise et qu’une piqure de rappel doive être administrée. Elle le sera, nul n’a encore décidé de quelle manière mais nous n’avons aucune (*aucune*) intention de laisser passer. Comme je l’expliquais plus tôt, ce conflit couvait depuis longtemps et est un conflit basé sur des conceptions de « civilisation ».

Les pays en pleine décadence

 de l’Europe et Etats-Unis n’acceptent tout simplement pas que la Russie ne sombre pas dans les bacchanales pédérastes, wok, BLM ou je ne sais quoi et s’imaginent qu’ils peuvent nous mettre au pas. Grave, très grave erreur qui risque d’entrainer le monde dans un bain de sang.

Boris Guennadevitch Karpov

Et en prime un exemple clair de la désinformation que les media occidentaux, VOS media, vous font: C’est sur CNN, qui annonce la première victime américaine en Ukraine, Bernie Gores, brave homme tué par une mine posée par les mêchants séparatistes soutenus par les russes.  


Eh bien pas de chance puisque ce brave Bernie Gores est déjà mort, « exécuté » par les mêchants talibans en 2021. Toujours sur CNN qui montre, en plus de son ignominie, sa stupidité: Même pas capable de changer le nom et la photo… Ne vous faites pas avoir par vos media! 

 


La flambée du conflit en Ukraine augmente le risque d'une rencontre rapprochée entre les forces américaines et russes

Alors que les États-Unis et leurs alliés se précipitent pour soutenir l'Ukraine dans sa tentative de combattre l'opération militaire russe dans le pays, les responsables militaires américains s'inquiètent de la possibilité de rencontres rapprochées entre leurs forces qui pourraient conduire à des affrontements et à une escalade majeure.

Les efforts menés par les États-Unis pour soutenir une confrontation militaire ukrainienne avec la Russie signifient que davantage d'avions américains et alliés opéreront près de l'Ukraine au milieu de la présence d'avions militaires russes, et leur proximité augmente les risques d'affrontements potentiels entre le rival puissances militaires, a rapporté samedi le Business Insider basé aux États-Unis.

Les États-Unis « conservent un certain nombre de canaux pour discuter des problèmes de sécurité critiques avec les Russes lors d'une éventualité ou d'une urgence », a déclaré un responsable militaire américain cité dans le rapport.

Mais ils n'avaient pas de ligne de déconfliction pour gérer leurs opérations aériennes jusqu'au 1er mars, date à laquelle le département américain de la Défense a mis en place une telle hotline avec le ministère russe de la Défense, "afin de prévenir les erreurs de calcul, les incidents militaires et l'escalade", a déclaré le responsable. expliqué.

Selon le rapport, les forces aériennes de l'OTAN ont déjà une présence importante à travers l'Europe de l'Est, menant des opérations de police aérienne au-dessus des régions de la Baltique et de la mer Noire alors que davantage d'avions américains se dirigeaient vers la Baltique dans les semaines précédant le début de l'intervention militaire russe.

Dans les heures et les jours qui ont suivi, les avions de chasse de l'alliance ont patrouillé le flanc est de l'OTAN alors que les États-Unis et leurs alliés déployaient davantage d'avions dans la région.

Avec le renforcement militaire de la Russie et les efforts de renforcement de l'OTAN, "il y a beaucoup d'acier dans la mer Noire" et en Pologne, mais dans les circonstances actuelles, un incident conduisant à une escalade était moins préoccupant, a déclaré Aaron Stein, directeur de recherche au Foreign Office. Institut de recherche sur les politiques.


"Les deux parties ont des militaires professionnels", a noté Stein. "Pour l'instant, il semble que les Russes aient les mains pleines en Ukraine, et les États-Unis et l'OTAN eux-mêmes ont été très clairs sur le fait qu'ils ne traverseraient pas la frontière."

Dans ces conditions, la confusion pourrait être atténuée "par une simple capacité accrue à transmettre des informations entre les deux parties", ce que fournit une ligne de déconfliction de base, a-t-il ajouté.

Le rapport cite ensuite un autre responsable militaire américain non identifié qui a déclaré que le canal de déconfliction était "essentiellement une ligne téléphonique ouverte" exploitée depuis le quartier général du Commandement européen des États-Unis en Allemagne et avait été utilisée au moins une fois.

"Les Russes l'ont reconnu. Lors de notre premier test, ils ont répondu au téléphone, nous savons donc qu'ils savent qui appelle", a-t-il souligné, cité dans le rapport.

Le risque de rencontres rapprochées et d'affrontements est susceptible de croître à mesure que le conflit se prolonge, en particulier si la Russie intensifie ses opérations dans l'ouest de l'Ukraine, qui borde quatre pays de l'OTAN.

Les États-Unis et d'autres pays continuent de fournir une assistance en matière de sécurité, qui comprend des armes, à l'Ukraine par des voies terrestres. Mara Karlin, secrétaire adjointe à la Défense pour la stratégie, les plans et les capacités, a déclaré mardi aux législateurs que le Pentagone "recherchait absolument" à maintenir ces routes ouvertes alors que la Russie prend le contrôle d'une plus grande partie de l'Ukraine.

Des responsables américains auraient également déclaré qu'ils n'avaient pas vu les forces russes tenter d'interférer avec ces efforts de réapprovisionnement, mais des avions russes auraient commencé des vols d'interdiction près de la frontière entre l'Ukraine et la Pologne.

 "Une erreur de ciblage conduisant à une frappe sur le territoire de l'OTAN est beaucoup plus plausible dans le brouillard de la guerre", a écrit cette semaine Samuel Charap, politologue au sein du groupe de réflexion américain Rand Corporation, dans le Financial Times .

Moscou pourrait également en venir à considérer les efforts de renforcement de l'OTAN comme une tentative d'intervention "et pourrait bien réagir en conséquence", a ajouté Charap.


Selon le rapport, il y a déjà des signes que la Russie répond avec force à la pression exercée par ses voisins en réponse à son opération militaire. Mercredi, quatre avions de combat russes sont brièvement entrés dans l'espace aérien suédois, survolant l'île stratégique de Gotland et provoquant la condamnation officielle de Stockholm.

L'incident survient alors que le public soutient l'adhésion à l'OTAN en Suède et en Finlande, et que des dizaines de milliers de soldats de l'OTAN se rassemblent en Norvège pour Cold Response 22, un jeu de guerre qui se déroulera dans la mer et dans les airs autour de la Norvège, qui borde la Russie sensible installations militaires dans l'Arctique.

L'exercice militaire, qui, selon un porte-parole de l'état-major interarmées norvégien, devrait impliquer quelque 30 000 soldats, "sera un test de résistance vraiment important en termes de retenue et d'évitement de l'escalade", a déclaré Mathieu Boulègue, chercheur en défense à Chatham House. groupe de réflexion.

Source: presstv.ir


Plus de 50 avions d'armes occidentaux ont atteint l'Ukraine avant l'opération russe : Moscou



Quelque 2 000 tonnes d'armes, de munitions et d'équipements de protection avancés ont été fournies à l'Ukraine par les États-Unis et leurs alliés avant l'opération militaire russe dans le pays, a révélé le ministère russe des Affaires étrangères. (photo d'archive AP)

Plus de 50 avions-cargos transportant des armes et d'autres équipements militaires des États-Unis, de Grande-Bretagne, du Canada, de Pologne et de Lituanie ont atterri en Ukraine avant l'opération militaire russe dans le pays, a révélé le ministère russe des Affaires étrangères, mettant en garde contre les retombées potentielles des États-Unis. -effort dirigé.

Quelque 2 000 tonnes d'armes, de munitions et d'équipements de protection avancés ont été fournies à l'Ukraine au cours du premier mois et demi de 2022, a ajouté le ministère, cité dans un rapport Sputnik  samedi, soulignant en outre que la Grande-Bretagne a expédié à elle seule plus de 2 000 unités. d'armement antichar.

Le rapport cite également la porte-parole du ministère, Maria Zakharova, qui a déclaré que Moscou avait une fois de plus exhorté l'Union européenne et l'alliance militaire de l'OTAN dirigée par les États-Unis à mettre fin au "pompage aveugle" d'armements modernes au régime de Kiev, insistant sur le fait que cet effort présente de grands risques. à l'aviation civile et à d'autres systèmes de transport en Europe et au-delà.

"Les organisateurs de ces livraisons doivent prendre conscience de la menace croissante que ces armes de haute précision tombent entre les mains d'éléments terroristes et de formations de bandits non seulement en Ukraine, mais aussi dans l'ensemble de l'Europe", a souligné Zakharova.

« Le flux de ces armes vers les marchés illégaux et entre les mains de réseaux terroristes n'est qu'une question de temps. [Shoulder-fired] MANPADS (Man Portable Air-Defense Systems) représentent un énorme danger pour l'aviation civile, et les ATGM (Anti-Tank Guided Missiles) pour le transport et les infrastructures ferroviaires », a-t-elle encore averti.

C'est alors que le quotidien américain Washington Post a également rapporté samedi que l'armée américaine avait expédié des centaines de millions de dollars de matériel militaire à l'Ukraine depuis décembre 2021 – des mois avant le début de l'opération militaire spéciale de la Russie dans le pays voisin. .

De plus, Moscou avait mis en garde à plusieurs reprises les gouvernements occidentaux contre l'envoi d'armements avancés à l'Ukraine, arguant que cela encouragerait Kiev à tenter de résoudre le conflit dans la région orientale du Donbass en utilisant ses forces militaires.

Canalisation mondiale d'armes vers l'Ukraine dirigée par le Commandement européen des États-Unis

Pendant ce temps, le Commandement européen de l'armée américaine est devenu l'organisateur d'une coalition mondiale de gouvernements expédiant des armes et des gadgets de sécurité, a en outre rapporté vendredi le média américain Military.com .

"Le commandement, basé en Allemagne sous la direction du général de l'armée de l'air Tod Wolters, coordonne les expéditions vers la zone de guerre à partir de 14 pays", indique le rapport, notant que les expéditions d'armes comprennent les 350 millions de dollars d'aide des États-Unis, ainsi que soutien nouvellement promis par l'Allemagne et la Suède.

Il a en outre cité "un haut responsable de la défense américaine" affirmant que "les Ukrainiens sont déjà bien formés sur des équipements tels que des armes antichars et ont été en mesure de distribuer l'aide là où ils étaient nécessaires sur les lignes de front à partir de vendredi".

"Je pense que nous avons tous été extrêmement impressionnés par l'efficacité avec laquelle les forces armées ukrainiennes ont utilisé l'équipement que nous leur avons fourni", a ajouté le responsable militaire anonyme, cité dans le rapport. "Et je pense que les observateurs du Kremlin ont également été surpris par cela, de la façon dont ils ont ralenti l'avance russe et se sont extrêmement bien comportés sur le champ de bataille."

Selon le rapport, les expéditions militaires dirigées par les États-Unis comprenaient des missiles antichars guidés Javelin et des missiles de défense aérienne Stinger tirés à l'épaule "pour éliminer les avions ou les drones pilotés par la Russie".

Il a également souligné que le Commandement européen des États-Unis a « puisé dans un réseau d'officiers de liaison parmi les alliés et les pays partenaires pour coordonner le soutien au [président ukrainien Volodymyr] Zelensky ».

Les États-Unis et l'OTAN ont renforcé leurs forces le long du flanc est-européen de l'alliance, y compris la Pologne, la Roumanie et les États baltes, mais ont clairement indiqué qu'ils n'interviendraient pas militairement dans le conflit, note le rapport.

"Ils tirent parti de ce [réseau] pour construire cette cellule de coordination afin de pouvoir comprendre en temps réel ce que les alliés sont prêts à fournir et comment ils pourraient l'acheminer vers l'Ukraine, et une compréhension commune des exigences ukrainiennes", a déclaré le responsable militaire américain qui s'est adressé aux journalistes sous couvert d'anonymat.

Le commandement, selon le rapport, "travaille spécifiquement avec le Royaume-Uni sur la manière de livrer les armes à travers les frontières et dans un conflit qui a soulevé le spectre de l'utilisation par la Russie de son arsenal nucléaire, après que Poutine a ordonné à ces forces d'être en état d'alerte dimanche".

Les États-Unis ont refusé de fournir de nombreux détails sur les quantités spécifiques d'armes et d'aide à la sécurité ou sur la manière dont ils pénètrent en Ukraine, craignant qu'ils ne soient utiles aux Russes sur le champ de bataille.

Entre-temps, rien n'indique que la Russie ait tenté de perturber le flux d'armes dirigé par les États-Unis vers l'Ukraine, malgré sa condamnation publique de cette décision, et la vitesse des livraisons s'est considérablement accélérée, a en outre expliqué le responsable américain.

Les États-Unis et leurs alliés envoient des tonnes d'armes et de munitions à l'Ukraine : NY Times

Confirmant davantage le flux d'armes de l'Occident vers l'Ukraine, le New York Times a également rapporté samedi qu'environ 14 avions de transport militaire gros porteurs ont transporté des tonnes de munitions et d'armes - y compris des missiles antichars Javelin, des lance-roquettes et des canons - vers un aérodrome près de l'Ukraine. frontière vendredi pour renforcer l'armée du pays alors que les forces russes se rapprochaient de sa capitale, Kiev.

Selon le quotidien, le chef d'état-major interarmées américain, le général Mark A. Milley, a inspecté le transfert d'armes lors d'une visite inopinée sur l'aérodrome non identifié.

Le quotidien influent a en outre rapporté que les fournitures militaires seraient livrées par voie terrestre à l'Ukraine pour être distribuées aux "combattants ukrainiens" dès que possible, notant que les troupes et le personnel de 22 pays travaillaient 24 heures sur 24 pour décharger les fournitures en vue de leur déplacement vers l'Ukraine.


Il a ajouté que les armes faisaient partie d'un paquet de 350 millions de dollars que le président américain Joe Biden avait autorisé la semaine dernière. Les livraisons ont commencé plus tôt dans la semaine mais se sont accélérées vendredi alors que les forces russes gagnaient du terrain à travers l'Ukraine au milieu des affirmations occidentales selon lesquelles la forte résistance menée par l'armée de Kiev avait bloqué l'avancée de la Russie.

La Russie a lancé une opération militaire spéciale en Ukraine le 24 février après que Kiev n'a pas réussi à mettre en œuvre les accords de Minsk et à résoudre pacifiquement le conflit dans le Donbass. Le président Vladimir Poutine a déclaré que la Russie n'avait d'autre choix que d'agir après des semaines de bombardements des Républiques populaires de Donetsk et de Lougansk (RPD et RPL) par les forces ukrainiennes. Il a ainsi ordonné aux forces russes de démilitariser l'Ukraine.

Source: https://www.presstv.ir/

 



 

À quel point la menace nucléaire de l'Ukraine contre la Russie était-elle crédible avant le conflit ?

 

Sachant maintenant que tout cela se passait dans les coulisses à l'approche de l'annonce fatidique du président Poutine le 24 février, le public devrait, espérons-le, avoir une meilleure idée du fonctionnement réel de la diplomatie internationale. Le monde n'est pas toujours au courant de ce qui se passe secrètement au plus haut niveau des relations interétatiques, c'est pourquoi certains développements comme l'opération militaire spéciale de la Russie en Ukraine semblent choquants mais prennent tout leur sens avec le recul.

Le président Poutine a expliqué que le calendrier de l' opération spéciale de son pays en Ukraine était en partie motivé par la menace nucléaire pressante que cette ancienne république soviétique voisine faisait peser sur la Russie. Ces allégations ont été rejetées par les médias occidentaux (MSM) dirigés par les États-Unis tout au long de leur campagne de guerre de l'information contre cette grande puissance eurasienne, mais méritent d'être approfondies car elles sont définitivement très crédibles. En fait, ils ont sans doute déclenché l'opération elle-même puisque Moscou a été obligée d'assurer l'intégrité de ses lignes rouges de sécurité nationale à la suite des insinuations du président ukrainien Zelensky lors de la conférence de Munich sur la sécurité le mois dernier selon lesquelles son pays envisageait sérieusement la production d'armes nucléaires.

Le dirigeant russe a averti le 24 février lors de l'annonce de l'opération militaire spéciale en Ukraine que « si nous regardons la séquence des événements et les rapports entrants, la confrontation entre la Russie et ces forces ne peut être évitée. Ce n'est qu'une question de temps. Ils se préparent et attendent le bon moment. De plus, ils sont allés jusqu'à aspirer à acquérir des armes nucléaires. Nous ne laisserons pas cela se produire. Le ministre des Affaires étrangères Lavrov et d'autres responsables russes comme sa porte-parole Maria Zakharova ont par la suite rappelé au monde la menace que les intentions nucléaires de l'Ukraine faisaient peser sur leur pays. Le président Poutine lui-même a même de nouveau soulevé la question samedi alors querencontre avec des membres féminins du personnel navigant des compagnies aériennes russes . Voici ce qu'il a dit :

"Maintenant, ils parlent d'acquérir un statut nucléaire, c'est-à-dire d'acquérir des armes nucléaires. Nous ne pouvons pas non plus ignorer de telles choses, surtout parce que nous savons comment le soi-disant Occident agit à l'égard de la Russie. Premièrement, l'Ukraine a des compétences nucléaires depuis l'époque soviétique. En ce qui concerne l'enrichissement et les matières nucléaires, ils sont capables de lancer de tels projets. Ils ont des compétences en matière de missiles. Qu'il suffise de mentionner Yuzhmash - il a créé des équipements de missiles balistiques intercontinentaux pour l'Union soviétique.

Ils peuvent le stimuler et le faire. Et ils recevront également de l'aide de l'autre côté de l'océan. Et puis ils diront que nous ne reconnaissons pas leur statut nucléaire, qu'ils l'ont fait eux-mêmes, et ils mettront ces systèmes sous contrôle, et à partir de ce moment, à partir de cette seconde, l'avenir de la Russie changera radicalement. Désormais, nos adversaires stratégiques n'auraient même plus besoin de missiles balistiques intercontinentaux. Ils seraient capables de nous maintenir sous la menace nucléaire, et ce serait tout. Mais comment pouvons-nous laisser cela passer inaperçu? Ce sont des menaces absolument réelles, pas des bêtises farfelues.

Comme l'a expliqué l'auteur dans son article sur « Pourquoi il est si important pour la Russie de dénazifier et de démilitariser l'« anti-Russie » », une Ukraine fasciste soutenue par les États-Unis dont les bureaucraties militaires, de renseignement et diplomatiques permanentes (« État profond ») sont influencées par une idéologie qui prêche littéralement la nécessité d'exterminer leurs frères frères russes lancerait certainement une attaque nucléaire contre cette grande puissance eurasienne en obtenant de telles capacités. Une source anonyme mais vraisemblablement très médiatisée et crédible qui s'est entretenue avec TASS financé par des fonds publics le lendemain de la réunion précédente du président Poutine a révélé que "des spécialistes ukrainiens auraient pu fabriquer un tel appareil en quelques mois" et queils « ont engagé un dialogue avec des entreprises étrangères » pour aider à créer des installations d'enrichissement d'uranium.

Une autre source a contacté la RIA financée par des fonds publics et les a informés de plus de détails sur les plans secrets d'armes nucléaires de l'Ukraine soutenus par les États-Unis. Selon eux, ils expérimentaient des bombes sales à Tchernobyl, exploitant les radiations préexistantes là-bas comme couverture pour leurs tests. Certains soupçonnent également que des documents liés à ce programme étaient auparavant stockés à la centrale nucléaire de Zaporozhskaya que les forces nationalistes fascistes de Kiev ont récemment tenté de provoquer la Russie .tirer dessus, après quoi ils en ont mis le feu en partie dans leur retraite, peut-être aussi pour détruire les preuves des plans illégaux de leur pays. De plus en plus, les informations qui deviennent de plus en plus disponibles ajoutent du crédit aux inquiétudes du président Poutine selon lesquelles l'Ukraine était sur le point de devenir une puissance nucléaire soutenue par les États-Unis.

Si l'opération spéciale de la Russie n'avait pas commencé quand elle l'a fait, il est très possible que Kiev ait encore intensifié le troisième cycle d'hostilités de la guerre civile dans le Donbass qu'il a commencé la semaine précédente et aurait pu utiliser cela comme prétexte pour demander l'aide directe des États-Unis et de l'OTAN, y compris celle qui consisterait à protéger clandestinement ses installations de recherche sur les armes nucléaires. Moscou a essentiellement devancé ce complot à la toute dernière minute absolue par son intervention décisive dans cet État voisin détourné par les fascistes , permettant ainsi aux Forces armées russes (RAF) d'y détruire l'infrastructure militaire secrète de l'Occident qui aurait pu faciliter leur débarquement en Ukraine. ainsi que d'être utilisé pour attaquer de manière conventionnelle la Russie lors de la neutralisation de ses capacités nucléaires de seconde frappe.

Le président Poutine est resté discret sur ces menaces imminentes aux lignes rouges de la sécurité nationale de son pays au cours des deux mois depuis qu'il a partagé ses propositions de garantie de sécurité avec les États-Unis et l'OTAN. Cet homme d'État chevronné sait comment fonctionne la diplomatie internationale et n'a pas voulu publiquement sonner l'alarme à propos de cette crise de type missile cubain au cœur de l'Europe tout en poursuivant sincèrement une résolution politique pacifique. Parler ouvertement de ces menaces très sérieuses aurait pu être présenté par le MSM comme «l'alarmisme infondé d'un dirigeant dérangé» et par conséquent torpillé sa diplomatie de haut niveau avec l'Occident. Malheureusement, ses interlocuteurs n'ont pas pris au sérieux son avertissement lorsqu'il a déclaré que la Russie aurait recours à des moyens militaro-techniques pour assurer sa sécurité nationale si nécessaire.

C'est pourquoi le monde entier a été choqué lorsqu'il a finalement dévoilé la mèche de cette crise le matin du 24 février tout en détaillant la nature exacte de ces menaces dans son adresse au peuple russe. Les gens ont été choqués car ils n'avaient pas réalisé à quel point le monde était proche d'une troisième guerre mondiale qui aurait très bien pu entraîner l'extermination de toute l'humanité. Comme on pouvait s'y attendre, le MSM a tout fait exactement comme il l'aurait fait s'il avait révélé ces détails plus tôt, tandis que la majorité de son peuple s'est rallié à son leadership patriotique après avoir compris la nature existentielle de la menace de l'OTAN dirigée par les États-Unis en Ukraine. Il ne s'agissait pas seulement de neutraliser les capacités de seconde frappe nucléaire de leur pays ni de l'attaquer de manière conventionnelle par la suite, mais aussi d'armer l'Ukraine fasciste avec des armes nucléaires.

Il ne devrait y avoir aucun doute parmi les observateurs objectifs que la mission spéciale de la Russie en Ukraine est essentiellement une mission préventive visant à éviter la troisième guerre mondiale en veillant à ce que les plans de sécurité stratégique sournois des États-Unis soient liés aux trois menaces énumérées dans la phrase précédente du paragraphe précédent. ne se matérialisera jamais. Sachant maintenant que tout cela se passait dans les coulisses à l'approche de l'annonce fatidique du président Poutine le 24 février, le public devrait, espérons-le, avoir une meilleure idée du fonctionnement réel de la diplomatie internationale. Le monde n'est pas toujours au courant de ce qui se passe secrètement au plus haut niveau des relations interétatiques, c'est pourquoi certains développements semblent choquants mais prennent tout leur sens avec le recul.

L'opération spéciale de la Russie en Ukraine en est un exemple et sans doute la plus importante depuis plusieurs générations. Si Moscou n'avait pas agi militairement en légitime défense préventive à ce moment-là, alors ce pays serait probablement déjà sur la bonne voie pour subir le chantage nucléaire de Kiev et de ses patrons occidentaux, surtout si l'OTAN envoyait des forces pour protéger les installations secrètes d'armes nucléaires de l'Ukraine sous le prétexte de le « défendre » contre l'intensification par son mandataire d'un troisième cycle d'hostilités de guerre civile dans le Donabss, comme les renseignements russes le soupçonnaient d'être sur le point de se produire. Tout semble très tendu et dangereux en ce moment, mais cela aurait été bien pire si l'opération spéciale n'avait pas commencé. La Russie vient littéralement de sauver le monde d'une guerre nucléaire imminente dans un avenir proche.

Par Andrew Korybko
Analyste politique américain

Qui dans le monde a refusé de faire pression sur la Russie ?

Les participants d'un rassemblement populaire en faveur de la Russie à Belgrade.  /  Aleksandar EN EUROPE Presque tous les pays européen...